Chers amis,
Le prochain cinéforum des Amis de Cinémaginaire aura lieu le Jeudi 3 mai 2018 au cinéma Jaurès, à 19h00. (Tarif : 5€)
Formule du CinéForum : Présentation + Film + Cassecroûte tiré du sac + Débat
Au programme : Film de Kantemir Balagov « Tesnota – Une vie à l’étroit » (Russie, 2018, 1h58)
Synopsis : 1998, Nalchik, Nord Caucase, Russie.
Ilana, 24 ans, travaille dans le garage de son père pour l'aider à joindre les deux bouts. Un soir, la famille et les amis se réunissent pour célébrer les fiançailles de son jeune frère David. Dans la nuit, David et sa fiancée sont kidnappés et une rançon réclamée. Au sein de cette communauté juive repliée sur elle-même, appeler la police est exclu. Comment faire pour réunir la somme nécessaire et sauver David ? Ilana et ses parents, chacun à leur façon, iront au bout de leur choix, au risque de bouleverser l'équilibre familial.
Ilana, 24 ans, travaille dans le garage de son père pour l'aider à joindre les deux bouts. Un soir, la famille et les amis se réunissent pour célébrer les fiançailles de son jeune frère David. Dans la nuit, David et sa fiancée sont kidnappés et une rançon réclamée. Au sein de cette communauté juive repliée sur elle-même, appeler la police est exclu. Comment faire pour réunir la somme nécessaire et sauver David ? Ilana et ses parents, chacun à leur façon, iront au bout de leur choix, au risque de bouleverser l'équilibre familial.
Quelques critiques Presse :
- Enfin un film russe qui sort des rengaines actuelles sur la bourgeoisie poutinienne, la corruption, la décadence culturelle… Cinéaste à suivre de près, absolument. (Les Inrockuptibles)
- Après Faute d’amour, d’Andreï Zviaguintsev, et Une femme douce, de Sergei Loznitsa, voilà qu’un tout nouveau réalisateur virtuose filme son pays déchiré entre traditions et violences. Et une femme y cherchant, tragiquement, un avenir. (Télérama)
- S'il est vrai que complimenter une oeuvre en ajoutant "...pour un premier film" n'a guère de sens, alors que tant de grands cinéastes ont débuté par un coup d'éclat, force est de constater que peu de premiers longs métrages conjuguent comme celui-ci la fougue de la jeunesse avec l'absolue maîtrise formelle. (Positif)
- Balagov filme les tensions familiales et claniques au format carré avec un sens du cadre, de la couleur et de l'atmosphère claustrophobe digne d'un James Gray underground du Caucase. Un cinéaste est né. (L’Obs)
A bientôt !
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